Punta Cana - Episode 3
La première sortie qu'on a faire est "Bavaro Runners" (avec l'accent québecois ça le fait encore mieux...). Il s'agissait d'une promenade d'une journée à l'intérieur des terres.
Rendez-vous pris pour le mardi matin dans le hall de l'hôtel.
"8h50.. heure dominicaine bien sur " m'a dit que le québecois auquel j'ai acheté l'excursion.
Comme on n'avait pas envie de rater la sortie, on est arrivé à 8h45. Estomac plein et vessie vide.
On se renseigne auprès du personnel une nouvelle fois : "ils viendront vous chercher, attendez tranquillement (genre : ils stressent trop ces français)".
Mon mari jette un coup d'oeil à l'extérieur de l'hôtel et voit un camion "Bavaro Runners" plein de touristes. C'était le notre qui nous attendait depuis 15 minutes...
Sur la route, le guide (Andy Antonio, dit "baby love") nous a parlé de son pays, a répondu à nos questions. C'était vraiment intéressant. On y a appris que l'école y était obligatoire de 4 à 18 ans et que les entreprises de tourisme locales finançaient beaucoup les écoles. Une façon de nous déculpabiliser face à toute cette pauvreté qu'on voyait en traversant les villages en plein jour.
Premier arrêt dans un "ranch" pour une ballade à cheval.
Tout ce vert, le ciel bleu... c'était bon...
Evidemment j'ai réussi à me faire mordre la jambe par le cheval d'Antoine. Ca surprend..
Deuxième arrêt consacré à la fabrication du tabac.
Parc à touriste 100% garanti. On nous emmène dans un atelier ou un dominicain plutôt âgé avec un look à la Fidel castro fait des cigares à la main. Ensuite on peut en goûter et éventuellement en acheter.
Je n'ai pas fait de photo car je trouve que ça faisait déjà suffisamment zoo. De même que je n'ai pris aucune photo des villages qu'on traversait.
Pendant que les autres fumaient on est allé se promener dans ce paysage magnifique. Dommage que l'appareil n'ait pas réussi à rendre hommages à ces magnifiques verts.
Rendez-vous pris pour le mardi matin dans le hall de l'hôtel.
"8h50.. heure dominicaine bien sur " m'a dit que le québecois auquel j'ai acheté l'excursion.
Comme on n'avait pas envie de rater la sortie, on est arrivé à 8h45. Estomac plein et vessie vide.
On se renseigne auprès du personnel une nouvelle fois : "ils viendront vous chercher, attendez tranquillement (genre : ils stressent trop ces français)".
Mon mari jette un coup d'oeil à l'extérieur de l'hôtel et voit un camion "Bavaro Runners" plein de touristes. C'était le notre qui nous attendait depuis 15 minutes...
Photo prise à la plantation de canne à sucre
Sur la route, le guide (Andy Antonio, dit "baby love") nous a parlé de son pays, a répondu à nos questions. C'était vraiment intéressant. On y a appris que l'école y était obligatoire de 4 à 18 ans et que les entreprises de tourisme locales finançaient beaucoup les écoles. Une façon de nous déculpabiliser face à toute cette pauvreté qu'on voyait en traversant les villages en plein jour.
Premier arrêt dans un "ranch" pour une ballade à cheval.
Tout ce vert, le ciel bleu... c'était bon...
Evidemment j'ai réussi à me faire mordre la jambe par le cheval d'Antoine. Ca surprend..
Deuxième arrêt consacré à la fabrication du tabac.
Parc à touriste 100% garanti. On nous emmène dans un atelier ou un dominicain plutôt âgé avec un look à la Fidel castro fait des cigares à la main. Ensuite on peut en goûter et éventuellement en acheter.
Je n'ai pas fait de photo car je trouve que ça faisait déjà suffisamment zoo. De même que je n'ai pris aucune photo des villages qu'on traversait.
Pendant que les autres fumaient on est allé se promener dans ce paysage magnifique. Dommage que l'appareil n'ait pas réussi à rendre hommages à ces magnifiques verts.
Troisième arrêt : la plantation de cannes à sucre.
Il y avait une bonne dizaine de camions bavarro runners.... Nooon.. C'est pas un truc pour touristes... N'empêche, on a goûté de la canne à sucre et bu un petit coup de vitamine (en République Dominicaine la "vitamine" c'est souvent du rhum). Ce jour-là un délicieux rhum ambré parfumé... mmmhhhhh...
Quatrième arrêt : la plantation de café et de cacao.
Elle est située dans la montagne. Y arriver est déjà un exploit, tellement les chemins sont boueux, cabossés et escarpés.
J'ai enfin vu des cabosses de cacao, de près, des caféiers, gouté la pulpe autour des fèves de cacao (miam), croqué des fèves de cacao (berk).
On y a découvert CHRISTIAN. C'est le propriétaire de la plantation. Ce diable d'homme arrive à cheval de façon terriblement majestueuse et avec une fougue qui semble ne jamais le quitter (bon.. j'ai râté l'arrivée car Aurore s'était perdu en revenant des toilettes).
Il parle une langue incroyable : le Frangnol. Il baragouine dans tout plein de langues, dans tous les sens, sans se soucier de syntaxe ou de cohérence. Et on comprend ( pour les enfants c'était plus difficile).
Christian fait un vrai show pendant... (je réalise en écrivant ces mots que je n'ai regradé ma montre à aucun moment et que j'avais perdu toute notion de temps). Bref, pendant un long moment.
Je me suis permis de faire des photos car on avait plus affaire à un showman qu'à un pauvre paysan dominicain!
Ce lutin parlait, virlvoltait, nous apostrophait sans cesse (sur les autres photos il est tourné ou penché ou en mouvement). Une fois le tour fini (et après le passage à la boutique.. business is business!) nous sommes remontés dans le car pour aller manger à... comment appeler ça... la cantine des cars "bavaro runners". De grandes tables, un buffet copieux au beau milieu de la montagne.
Ensuite (l'après-midi est bien avancé) on part vers la plage où on peut faire une petite trempette avant d'être reconduit à l'hôtel.
On ne peut pas vraiment dire qu'on ait visité le pays mais on y a jeté un petit coup d'oeil. Un premier coup d'oeil.
Les personnes du car étaient fort sympathiques et on a d'ailleurs gardé contact avec une des familles.
Evidemment on n'est allé que dans des coins pour touristes. Mais je ne crois pas que nous soyions autre chose que des touristes. Pour avoir grandi dans une région très touristique je trouve que c'est plutôt bien de cantonner les touriste sur des lieux repérés et éviter qu'ils envahissent tout. Quand on reçoit à la maison, on préfère perndre l'apéro dans le salon, pas dans la chambre, et on ne donne pas trop le choix aux invités.
Pourquoi serait-ce différent? On a été très bien reçu... dans la salle de séjour.
Il n'en demeure pas moins qu'on a passé une très bonne journée.
Il y avait une bonne dizaine de camions bavarro runners.... Nooon.. C'est pas un truc pour touristes... N'empêche, on a goûté de la canne à sucre et bu un petit coup de vitamine (en République Dominicaine la "vitamine" c'est souvent du rhum). Ce jour-là un délicieux rhum ambré parfumé... mmmhhhhh...
Quatrième arrêt : la plantation de café et de cacao.
Elle est située dans la montagne. Y arriver est déjà un exploit, tellement les chemins sont boueux, cabossés et escarpés.
J'ai enfin vu des cabosses de cacao, de près, des caféiers, gouté la pulpe autour des fèves de cacao (miam), croqué des fèves de cacao (berk).
On y a découvert CHRISTIAN. C'est le propriétaire de la plantation. Ce diable d'homme arrive à cheval de façon terriblement majestueuse et avec une fougue qui semble ne jamais le quitter (bon.. j'ai râté l'arrivée car Aurore s'était perdu en revenant des toilettes).
Il parle une langue incroyable : le Frangnol. Il baragouine dans tout plein de langues, dans tous les sens, sans se soucier de syntaxe ou de cohérence. Et on comprend ( pour les enfants c'était plus difficile).
Christian fait un vrai show pendant... (je réalise en écrivant ces mots que je n'ai regradé ma montre à aucun moment et que j'avais perdu toute notion de temps). Bref, pendant un long moment.
Je me suis permis de faire des photos car on avait plus affaire à un showman qu'à un pauvre paysan dominicain!
Découpage d'un ananas en 5 secondes avec une machette
Ce lutin parlait, virlvoltait, nous apostrophait sans cesse (sur les autres photos il est tourné ou penché ou en mouvement). Une fois le tour fini (et après le passage à la boutique.. business is business!) nous sommes remontés dans le car pour aller manger à... comment appeler ça... la cantine des cars "bavaro runners". De grandes tables, un buffet copieux au beau milieu de la montagne.
Antoine dévore du poulet grillé tandis que je grimace (?)
Ensuite (l'après-midi est bien avancé) on part vers la plage où on peut faire une petite trempette avant d'être reconduit à l'hôtel.
On ne peut pas vraiment dire qu'on ait visité le pays mais on y a jeté un petit coup d'oeil. Un premier coup d'oeil.
Les personnes du car étaient fort sympathiques et on a d'ailleurs gardé contact avec une des familles.
Evidemment on n'est allé que dans des coins pour touristes. Mais je ne crois pas que nous soyions autre chose que des touristes. Pour avoir grandi dans une région très touristique je trouve que c'est plutôt bien de cantonner les touriste sur des lieux repérés et éviter qu'ils envahissent tout. Quand on reçoit à la maison, on préfère perndre l'apéro dans le salon, pas dans la chambre, et on ne donne pas trop le choix aux invités.
Pourquoi serait-ce différent? On a été très bien reçu... dans la salle de séjour.
Il n'en demeure pas moins qu'on a passé une très bonne journée.